Le Covid a-t-il entraîné une hausse des consultations de psychothérapeutes ?
L’annonce du second confinement par le gouvernement en septembre dernier a été une véritable onde de choc pour les Français. Le confinement, entraînant la fermeture des bars, des restaurants et d’autres établissements, a été un véritable ascenseur émotionnel. Cet ascenseur émotionnel est vraiment très exigeant en termes de ressource psychologique. C’est d’ailleurs pour cela qu’on peut être amené à se demander si le covid-19 n’a pas entraîné une hausse des consultations de psychothérapeutes. Voici justement un article qui vous apporte des éléments de réponses sur le sujet.
Les conséquences du premier confinement et la thérapie
Depuis la première vague de confinement de mars dernier, les psychothérapeutes craignaient que l’épidémie ne s’installe dans la durée, avec comme conséquence, l’épuisement des ressources psychologiques des Français. Cette situation a révélé les limites de la santé mentale de bon nombre de personnes. En effet, cette crise sanitaire sans pareil est une véritable situation stressante avec une bonne dose d’anxiété. Cela génère chez les Français des phobies avec une grande augmentation des états dépressifs. Pour se sentir mieux, les populations se lancent très souvent à la quête d’un bon psy.
Et pour vous aider à retrouver le sourire et la bonne humeur, nous vous suggérons d’ailleurs des praticiens comme le psychologue EMDR à Montpellier. C’est un psychologue formé en thérapie EMDR (Eye Movement Desensintization and Reprocessing) qui vous aidera à traverser cette période difficile. Il s’appuie sur des techniques telles que l’hypnose Ericksonienne pour vous libérer de toute cette charge émotionnelle. Le psy utilise donc des techniques basées sur l’intégration neuro-émotionnelle par des mouvements oculaires. Et la bonne nouvelle c’est que la téléconsultation est une option prise en compte. Vous n’avez pas besoin de vous déplacer.
L’annonce d’un autre confinement et épuisement à la maison
Le fait d’être obligé de rester cloitré à la maison a entraîné un épuisement psychique chez les Français. Lors du premier confinement, tout le monde essayait de s’occuper chez soi. Mais les séances de bricolage dans sa demeure ont perdu tout intérêt. À cela s’ajoute les incompréhensions à propos du prochain confinement. On peut sortir pour travailler et, après, rentrer directement à la maison. Alors, les Français se demandent bien à quoi rime une vie qui n’est faite que pour travailler. Il s’agit là d’un contexte favorable au développement de troubles psychologiques. Dans ce cas, les blessures affectives du passé peuvent resurgir pour tourmenter l’individu. Il va alors de soi que les cabinets de psychologue et de psychothérapie reçoivent davantage de personnes qu’auparavant.